la grande fête

Invité

(HRPG : xD! Suis pas aussi faible que ça comme même! Désolé mais j'improvise à la place )

Après le violent coup de poing que je lui décocha, il me répondu qu'il voulait combattre contre moi à la fin de la fête. Il essaya ensuite d'enlever ma main de son col mais je ne le lâchais pas voulant encore lui mettre deux, trois coups de poing...

<< Tu crois que je vais gentiment me laisser faire comme ça? Non mais je veux me battre de suite ouais! Je ne vais pas te lâcher le col avant de t'avoir massacré salaud! Parce que, non seulement tu voulais me voler Nee-san mais en plus, tu croyais qu'elle allait faire un adultère avec un blondinet comme toi?! Mais c'est que tu rêves mon petit ahuri blondinet! Allez, bats-toi, je t'attends! >>

Criais-je alors sur lui violemment sous le coup de la colère : Ce garnement que je ne connaissais même pas essayait de me piquer Nee-san qu'il prétendait connaître... Mais c'est alors que ce blondinet me prit par le bras et me balança sur le comptoir. Je tomba alors violemment sur le dos, au comptoir! Je souris alors car j'avais réussi à provoquer le blondinet mais maintenant, c'était à mon tour d'agir : Je pris le blondinet et le balança, lui, sur le mur où les bouteilles de saké étaient entreposées... Mais c'est alors qu'il riposta d'un kick avec ses deux pieds en s'appuyant sur le mur : Je tomba alors au sol et fut projeté jusqu'aux pieds de celui qui m'avait ridiculiser lors de mon concert : Une personne qui se prétendait chef d'Oto! Quand au blondinet, il atterrit devant moi à cause de son appui sur le mur mais lui, sur les pieds! Je me releva alors et le provoqua une nouvelle fois jusqu'à ce qu'il prenne la parole afin d'informer au prétendu chef d'Oto de faire le sale boulot, mais avant que je ne puisse répondre, le prétendant chef d'Oto me coupa la parole, à ses paroles, on aurait vu qu'il essayait de me défendre mais dans une nuance d'insultes, j'avais émis cette hypothèse mais qui fut balayé de ma tête au moment où je me souvenu de la honte qu'il m'avait foutu à mon concert! Mais après qu'il ait continué ses paroles, je su que mon hypothèse était en faite vrai et je lui répondu alors :

<< Alors comme ça, le prétendu "chef" d'Oto veut m'entraîner hein? Et ce "chef" veut m'éviter les emmerdes de ce petit blondinet ahuri hein? Et en plus, ce "chef" veut m'aider à me faire aimer de nee-san? Mais... Les seuls deux 'blèmes, c'est que, ce petit blondinet ahuri va pas m'emmerder longtemps vu que en faite, nee-san m'aime mais qu'elle a cru que j'avais fait un adultère et donc maintenant, elle boude mais je peux me faire pardonner et donc, si je me fais pardonner, nee-san m'avouera qu'elle m'aime et ce blondinet arrêtera de m'emmerder! Donc, pour régler mes problèmes, je dois juste me faire pardonner par nee-san! Et pas m'entraîner avec vous : le prétendu "chef" d'Oto! Ah oui Me deuxième 'blème, c'est que je vous crois pas quand vous dites que vous êtes chef d'Oto, car vous avez vraiment l'air faible et donc, j'en arrive à cette réponse... Va te faire foutre chef de mon cul!" >>

Amaterasu venait d'avoir une idée qui pouvait peut etre plaire à l'Otokage.

Elle Appela 2 chuunin expérimenté et leur donna le message à transmettre expressément.

"j'ai cru comprendre que vous étiez le genre de personne à apprécier les divertissement, je souhaite donc vous en offrir un dernier avant votre départ.
Un affrontement entre Konpaku et Naruto.
Je penses que cela pourrait être très amusant, vu la haine qu'ils entretienne l'un pour la'autre. De plus cela pourrait nous permettre de les évaluer. Puisque nous n'avons aucune idée des capacité de l'un ou de l'autre.
Voici donc une clef d'une villa privée pour votre nuit parmi nous. Je mets à votre disposition 2 chunins pour vous guider et satisfaire vos exigences.
Si vous acceptez ma proposition demain aura lieu le combat dans l'arène de Konoha.
Bonne soirée
Hitai

ka Amaterasu"

Sasori qui était de bonne humeur jusqu'à présent, avait un gout amer quant à la réaction de ce jeune prétention qu'il avait en face de lui. Il lui parlait vraiment mal, et le sous-estimait.L'Otokage se résolut donc à lui infliger une punition.Pendant que le Gennin hurlait à tût-tête car il se croyait le meilleur, l'homme pantin l'attrapa à la gorge, le souleva et l'approcha de son visage de sorte que Kon puisse voire ses yeux.Sasori le regardait avec un air de menace et le serait très fort.

Petit con...tu risque de rater l'occasion de ta vie...et ton insolence me donne envies de te tuer sur la scène même où tu t'es ridiculisé...mais en fait, ça me ferait presque chier que de te faire l'honneur de crever des mains de l'Otokage, l'uns des hommes les plus redoutés...Je suis faible hein? Dans ce cas, plutôt que de t'entraîner avec moi, que dirait -tu d'un combat, toi contre moi? Ou alors as-tu peur que ta "nee-san" voit à quel point tu es pathétique quand tu pleures...

Puis Sasori vit deux Chuunin et un oiseau lui apporter une lettres.Il balança alors Konpaku et lit les deux messages.Il remercia alors les envoyés d'Amaterasu et s'adressa à nouveau au Gennin:

Hé, fiante de pigeon! Ta chère nee-san t'as désigné comme mon élève... ou alors tu oserais désobéir à ses ordres ..?Je ne suis pas sûr que c'est une bonne idée, vu comment ton rival fait la lèche auprès d'elle... d'ailleurs en parlant de lui, elle ordonnes que vous vous battiez demain soir pour réglé vos comptes une bonne fois pour toute...j'y serais et je repartirais m'entrainer avec toi suite à ta défaite..tu ferait mieux d'aller dormir à présent afin de ne pas te ridiculiser encore plus demain...

Invité

Content de moi pour avoir sortit à cette imposteur, une superbe réponse en guise de refus, j'allais bientôt me faire couper par mon élan de joie... En effet, l'imposteur, alors que je riais pour lui avoir sortit une telle réponse me prit de suite le coup par la main et me souleva de quelques centimètres du sol puis, tellement il serra fort que je suffoquais jusqu'au point de baver... Sur sa main! Ce qui n'était vraiment pas acceptable dans la situation dans laquelle j'étais et pourtant, je l'avais fais... Puis, à la limite de la suffocation, j'essayais d'implorer l'imposteur de me laisser respirer, vu que j'étais à ma limite et que je pouvais pas m'en libérer sans aide ultérieur, avec des paroles mais je ne pu dire un mot à cause de ma suffocation, alors, j'allais essayer de lui demander d'un regard mais en croisant son regard, j'avais croisé le regard de la mort... Et donc, j'abandonnais toute tentative et me laissa emporter par la mort jusqu'à ce que l'imposteur prenne la parole : il disait que je risquais de rater la chance de ma vie et qu'il avait envie de me tuer et c'est à ces paroles, que je rassemblais mes dernières forces pour bouger la tête de droite à gauche rapidement comme signe de refus! Mais il continua ses paroles sans se soucier de mes implorations, il continuant en affirmant toujours être le chef d'Oto puis il me demanda si j'étais prêt à lui quémander un duel si je ne le considérais pas comme l'Otokage, et alors, pour me laisser répondre, il déserra l'étreinte mais toujours pas assez pour que je ne cesse de continuer de souffrir... Et alors, à la frontière de la vie et de la mort, je répondis en suffocant donc en ne pouvant prononcer que des mots et alors, être assez mal compris :

<< Ok... Ok... Peace... Love... Je... Considère... Otokage... Vous... Je... Veux... Pas... Combattre... Vous... J'abandonne... Vous... Meilleur... Moi... Bien... Veux... Accorder... Entraîner... Toi... Moi... >>

Puis, il me lâcha alors... Ou plutôt, me balança comme une vielle chaussette, je croyais qu'il m'avait lâché grâce à mes paroles mais en faite, c'était grâce à un pigeon et deux chunnins envoyés par Nee-san : Nee-san m'avait sauvé de la mort cette fois! Puis, le Otokage(il m'avait convaincu qu'il était Otokage) rapporta les messages qu'avaient délivrés ces deux ninjas et le pigeon. : il me rapporta que c'était un ordre de Nee-san et que j'allais sûrement accepter d'être entraîner par l'Otokage : Je pensais alors qu'il n'avait pas écouté ou compris que j'étais d'accord... Il continua en livrant le message des deux Chuunins que je me devais de faire un duel avec, d'après lui, mon rival demain avant de partir... Il finit alors pour attendre ma réponse :

<< Heu... Ouais... Okay... Mais... Je tiens à vous dire... Répondis-je essoufflé et donc respirant à chacune de mes paroles... Que ce petit ahuri blondinet, que vous croyez être mon rival... N'est pas mon rival... C'est qu'un salaud... Bon, emmenez-moi chez vous, suis trop fatigué et j'ai trop mal... A partir de ce moment, je chuchota "à cause de vous" puis repris mes paroles... Au cou et peut plus... Bouger! Finissais-je en tombant sur le dos, épuisé! >>